Des abris provisoires au dépit d’une reconstruction effective
Le schéma est toujours le même « urgence, post-urgence et développement », consistant à installer des tentes d’une durée de vie de 6 mois, puis des abris temporaires, lesquels seront solidifiés à l’aide de différents matériaux avec le temps. Les villes se transforment ainsi en bidonvilles et la reconstruction dans le temps n’est pas effective, au sens où il n’y a pas réellement de reconstruction, et où tout reste provisoire. On a affaire à du « provisoire durable », non satisfaisant du point de vue des logements, comme des aménagements publics (écoles, hôpitaux, administration, etc…). Ce n’est pas faute d’argent, puisque les cabanes et tentes installés immédiatement suite à la catastrophe ont un coût considérable,
Coulombel dénonce en effet l’amateurisme des humanitaires sur-place, qui, malgré une volonté d’aider, ne disposent pas de connaissances théoriques, ni techniques, sur la manière de procéder. Il fait une expérience de pensée : enverrait-on des humanitaires non-sachants dans une ONG médicale ?
Mieux anticiper pour éviter un maximum de dégâts avec les produits ADESOL
Chez Adesol, nous sommes expert en profilés techniques pour les bâtiments, nous avons développé une gamme de couvre-joints et de profilés, spécialement étudiés pour résister aux chocs sismiques, connus pour mettre à mal la structure des bâtiments. En effet, lors d’un choc sismique, les bâtiments construits avec des produits « classiques », non prévus pour résister aux séismes ne sont pas capables de s’adapter aux mouvements du sol.
Les produits Adesol, et leur gamme spécifique Tecno-K, permettent à la structure de suivre les mouvements induits par le séisme tout en assurant le passage du vide des joints de dilatation qui peut s’avérer assez large.
L’utilisation de produits élaborés spécifiquement pour résister aux chocs sismiques permettent d’éviter un nombre de dommages considérables, matériels et humains, en cas de séisme.