La tendance du bois dans la construction

L’AMI (appel à manifestation d’intérêt) « Bois-Bourg »

C’est d’ailleurs l’un des chantiers entrepris par le gouvernement depuis le printemps 2017 : valoriser et faire valoir les constructions en bois. Ainsi Stéphane Le Foll(maire du Mans, et ancien ministre et porte-parole du gouvernement), et Emmanuelle Cosse (ministre du logement et de l’habitat durable) ont lancé un appel à intérêt « Bois-Bourg » consistant à soutenir financièrement 100 projets de constructions en bois dans les zones rurales.

Leurs objectifs sont multiples : démontrer l’opérabilité du bois dans les constructions architecturales et les travaux de réhabilitation, faire un exemple pour l’observatoire sur l’utilisation du bois qui rédigera le cahier des charges de la future règlementation environnementale du bâtiment, et re-dynamiser la filière forêt-bois locale pour des utilisations nouvelles (ou du moins renouvelées).

L’utilisation du bois : un projet de grande ampleur

Une belle suite au projet lancé en juin 2016 destiné à faire émerger des immeubles en bois au sein de grandes agglomérations françaises, qui a réussi avec un audit et un aval réalisés sur 36 localisations du territoire (Paris, Saint-Etienne, Strasbourg, Bordeaux, Le Havre, Dijon…).

Ainsi, le but est de faire la part belle à l’utilisation du bois en architecture et en rénovation, qu’il s’agisse de grands immeubles, ou de petits logements, d‘équipements publics ou de locaux commerciaux; et ce, dans les grandes villes, comme dans les campagnes, souvent délaissées de ce genre de projets d’aménagement du territoire.

Le bois est un matériau malléable, écologique, renouvelable, et éminemment fonctionnel, Emmanuelle Cosse l’a bien compris : « Le bois est une ressource incontournable pour la construction et la rénovation. Ses caractéristiques en font un matériau de choix pour l’expérimentation Energie positive–réduction carbone que nous avons lancée pour élaborer collectivement la réglementation environnementale du bâtiment de demain. Utilisé seul ou combiné avec d’autres matériaux, il constitue un atout pour la transition énergétique. » Une idée pertinente et esthétique, puisque les premières réalisations de ce projet d’ampleur sont particulièrement attractives, on nommera notamment le Terra Nostra de Grenoble, le Palazzo Méridia de Nice, les tours Hypérion et Silva à Bordeaux, ou encore Le Bourg de Montreuil, qui consistent en de futurs exemples de l’architecture en bois française.

Le joint anti-sismique K FLOOR F par TECNO-K, un allié de qualité pour les constructions en bois

Le bois est un matériau souple, qui s’adapte aisément à l’endroit où l’on le place. C’est pourquoi les constructions californiennes, par exemple, sont réalisées en bois : celui-ci suit les mouvements de la terre lors des séismes, là où le béton se fissurerait simplement. Si, en France, nous ne les ressentons pas forcément, en raison de leur faible intensité, des séismes se produisent régulièrement et les bâtiments peuvent en pâtir. C’est pourquoi chez TECNO K nous avons créé des produits capables d’absorber les mouvements du phénomène sismique (dilatation – contraction – cisaillement – oscillation), là où des joints classiques plieraient ou se briseraient.

Le joint K FLOOR F G50, plébiscité par les constructeurs expérimentés dans le domaine du bois, accepte le phénomène sismique, et le suit dans ses mouvementsgrâce à une structure en accordéon. Il est conçu pour minimiser (voire éviter totalement) les dommages structurels dans le cadre d’une activité sismique, ou d’accidents divers.

Pour en savoir plus vous pouvez consulter sa fiche produit ici :  http://www.tecnok.fr/kfloor-f-g50/

L’Équipe TECNO K