Les catastrophes naturelles et industrielles sont malheureusement toujours au coeur de l’actualité.

Qu’il s’agisse des pays des Antilles, ou de la France, les catastrophes naturelles sont légion et se répètent année après année. Séismes, crues, inondations, typhons, et tsunamis participent régulièrement au quotidien des entreprises et des familles localisées dans les zones à risques. Malgré le caractère répétitif de ces dommages, les mesures entreprises ne constituent pas une solution durable, et l’on s’en étonne. Explications.


Une ONG au secours des populations ayant subi une catastrophe naturelle

C’est le sujet d’un livre paru en 2017, Arrêtons lamateurisme au nom de lurgence, écrit par Philippe Coulombel. En 2001, Coulombel a créé une ONG (parrainée par Denis Brogniard), Architectes de l’Urgence, visant à reconstruire des logements et des aménagements durables dans les zones touchées par les catastrophes naturelles. Active en Haiti en 2010, mais également aux Philippines aux suites de l’ouragan Yolanda en 2013, ou en Afghanistan suite à la guerre, l’ONG intervient dans un nombre considérable des pays du monde parmi lesquels on compte notamment la France. Effectivement, qu’il s’agisse du Bangladesh, du Liban, du Sri Lanka, du Tchad, ou de la France, la problématique de reconstruction reste la même. La qualité des mesures prises lors des catastrophes naturelles ou humaines ne dépend pas que du PIB ou de la situation géopolitique du pays, mais également de l’expertise et de l’aptitude des architectes et humanitaires déployés pour gérer la crise. Le constat est le même, qu’importe la région du monde dans laquelle la catastrophe a lieu : les constructions réalisées et les aménagements installés ne sont pas pérennes et durables dans le temps.

Des abris provisoires au dépit d’une reconstruction effective

Le schéma est toujours le même « urgence, post-urgence et développement », consistant à installer des tentes d’une durée de vie de 6 mois, puis des abris temporaires, lesquels seront solidifiés à l’aide de différents matériaux avec le temps. Les villes se transforment ainsi en bidonvilles et la reconstruction dans le temps n’est pas effective, au sens où il n’y a pas réellement de reconstruction, et où tout reste provisoire. On a affaire à du « provisoire durable », non satisfaisant du point de vue des logements, comme des aménagements publics (écoles, hôpitaux, administration, etc…). Ce n’est pas faute d’argent, puisque les cabanes et tentes installés immédiatement suite à la catastrophe ont un coût considérable,

Coulombel dénonce en effet l’amateurisme des humanitaires sur-place, qui, malgré une volonté d’aider, ne disposent pas de connaissances théoriques, ni techniques, sur la manière de procéder. Il fait une expérience de pensée : enverrait-on des humanitaires non-sachants dans une ONG médicale ?


Mieux anticiper pour éviter un maximum de dégâts avec les produits ADESOL

Chez Adesol, nous sommes expert en profilés techniques pour les bâtiments, nous avons développé une gamme de couvre-joints et de profilés, spécialement étudiés pour résister aux chocs sismiques, connus pour mettre à mal la structure des bâtiments. En effet, lors d’un choc sismique, les bâtiments construits avec des produits « classiques », non prévus pour résister aux séismes ne sont pas capables de s’adapter aux mouvements du sol.

Les produits Adesol, et leur gamme spécifique Tecno-K, permettent à la structure de suivre les mouvements induits par le séisme tout en assurant le passage du vide des joints de dilatation qui peut s’avérer assez large.

L’utilisation de produits élaborés spécifiquement pour résister aux chocs sismiques permettent d’éviter un nombre de dommages considérables, matériels et humains, en cas de séisme.


Si vous êtes intéressé par la découverte de notre savoir faire, n’hésitez pas à nous poser vos questions.

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